Il est bien plus beau de savoir quelque chose de tout que de savoir tout d’une chose. Pascal
Les textes officiels
23/09/16
Avant d’aborder ce thème, il faut aller regarder ce qu’en dit le texte officiel.
Glaner ou revendre un objet…
15/11/15
Un article passionnant d’Anne-Sophie Novel sur la valeur des objets, la consommation collaborative, l’obsolescence programmée :
« Comment s’affranchir du regard des autres quand on glane ou revend un cadeau ? ».
Vous trouverez aussi d’autres articles en rapport avec le thème des objets sur son blog.
« Comment s’affranchir du regard des autres quand on glane ou revend un cadeau ? ».
Vous trouverez aussi d’autres articles en rapport avec le thème des objets sur son blog.
Le design
15/11/15
Un article de Marie Godfrain, publié le 4 juillet 2014 dans la revue M le magazine du Monde. A lire aussi sur le site en ligne : « Le design en quête de légèreté »
40 objets transformés en œuvres
15/11/15
Hervé Le Tellier a présenté, en 2014 au Lucernaire à Paris, une exposition intitulée « L’Herbier des villes, 40 objets sauvés du néant ». Il nous explique ici quelles étaient ses intentions lorsqu’il a ramassé 40 objets dans la rue pour en faire une œuvre d’art.
Un timbre hors de prix
14/11/15
Cet article du Monde.fr sur la vente aux enchères d'un timbre pour plus de 7 millions d'euros associe les 3 axes principaux du BO sur le thème des objets : matérialité, fonction et valeur. Vous pouvez aussi associer ce texte à la question de la collection .
Cette histoire de timbre hors de prix rappelle le film de Kiezlowski, dans le Décalogue inttulé « Tu ne voleras pas », qui tourne autour de la collection de timbres.
Cette histoire de timbre hors de prix rappelle le film de Kiezlowski, dans le Décalogue inttulé « Tu ne voleras pas », qui tourne autour de la collection de timbres.
Quid de l'hyperconsommation…
14/11/15
Un article du Monde.fr intitulé « Les Français sont-ils sortis de l'hyperconsommation ? »
Le Monde.fr | 17.06.2014 Par Audrey Garric Journaliste au service Planète du Monde
Le Monde.fr | 17.06.2014 Par Audrey Garric Journaliste au service Planète du Monde
Le sac à main
12/11/15
Il est très intéressant de voir le nombre de chansons qui ont pour thème le sac à main d’une femme. En voici quatre exemples.
- « Dans mon sac à main », interprétée par Andrex, date de 1942 et en dit long sur les préoccupations de l'époque,
- « Dans ton sac », une chanson de Renaud,
- « Le Sac à main », beaucoup plus récente, mais tout aussi intéressante est interprétée par Bénabar.
- « Le sac des filles » de Camille
Toujours à propos de sac à mains, visionnez le court-métrage intitulé Emilie Müller.
- « Dans mon sac à main », interprétée par Andrex, date de 1942 et en dit long sur les préoccupations de l'époque,
- « Dans ton sac », une chanson de Renaud,
- « Le Sac à main », beaucoup plus récente, mais tout aussi intéressante est interprétée par Bénabar.
- « Le sac des filles » de Camille
Toujours à propos de sac à mains, visionnez le court-métrage intitulé Emilie Müller.
Objets dans l'objectif
12/11/15
Des expérimentations en laboratoire de Daguerre aux créations publicitaires, le thème de l'objet traverse toute l'histoire de la photographie.
Objets dans l’objectif est une exposition de la BNF (Bibliothèque Nationale de France) qui, à travers un dossier interactif, brosse une histoire de la photographie d'objet et de son émancipation progressive de la peinture.
Un dossier passionnant.
Objets dans l’objectif est une exposition de la BNF (Bibliothèque Nationale de France) qui, à travers un dossier interactif, brosse une histoire de la photographie d'objet et de son émancipation progressive de la peinture.
Un dossier passionnant.
Le destin d'une table
12/11/15
Sur le site Slate un article évoque une ancienne table de la Cité U d'Antony qui a été adjugée aux enchères… 1,2 millions d'euros ! L'histoire me semble intéressante.
L'objet selon Michel SERRES
12/11/15
Le philosophe et académicien Michel Serres a proposé le 8 juin 2014 une chronique sur France Info consacrée aux objets. Je n’arrive pas à la retrouver sur le net ; peut-être aurez vous plus de chance que moi, prévenez-moi vite.
De la sexualité des objets
12/11/15

Les objets créés par Q
12/11/15
Un documentaire intitulé « Inside Q’s Lab » présentant les objets créés par Q et utilisés par James Bond 007.
La dématérialisation des objets
12/11/15
Un édito dans LE MONDE | 12.05.2014
« La culture à l'heure de l'abonnement numérique »
A la veille de l'ouverture du 67e Festival de Cannes, qui se tient du 14 au 23 mai [2014], un film cristallise les attentes : Welcome to New York, d'Abel Ferrara, librement inspiré de l'affaire DSK. Dans les colonnes du Monde, les producteurs ont annoncé qu'ils mettraient le film à disposition des internautes durant le Festival. A partir du 17 mai, Welcome to New York sera proposé, pour 7 euros, sur plusieurs plates-formes de vidéo à la demande.
Leur coup d'éclat vise à bousculer la réglementation, très contraignante en France, qui encadre la diffusion d'un film dans le temps, support après support — d'abord la salle, puis le DVD, puis la télévision payante, etc. Aussi iconoclaste soit-il, ce geste apparaît comme désuet.
Désuet, car il ne prend pas en compte les nouveaux modes de consommation culturelle. En 2014, dans les magasins, on n'achète plus de disques, de DVD ou de livres — ou si peu, et bien moins qu'il y a cinq ou dix ans. En 2014, sur Internet, on ne télécharge plus de chansons ou de films — ou si peu, et bien moins qu'il y a cinq ou dix ans.
L'acquisition de produits culturels est une pratique obsolète. L'heure n'est plus à l'achat, mais à l'abonnement, comme l'illustre le succès des sites musicaux Spotify ou Deezer, qui offrent à leurs abonnés, en échange d'un versement mensuel, l'accès à un vaste catalogue de morceaux. Les salles de cinéma ont vu se généraliser l'usage des cartes dites " illimitées ", qui permettent de voir un nombre infini de films, en contrepartie d'une contribution mensuelle.
Après une décennie de tâtonnements, liés notamment à l'apprentissage du numérique, les industries culturelles sont parvenues à réinventer leur modèle économique, passé d'une logique de stocks à une logique de flux.
Elles sont entrées de plain-pied dans ce que Jeremy Rifkin appelait, en 2000, l'" âge de l'accès ". Selon cet économiste américain, qui a théorisé " la troisième révolution industrielle ", la notion d'accès remplace celle de propriété ; le réseau supplante le marché ; la navigation parmi un océan de données se substitue à l'accumulation de biens matériels. C'est une révolution.
La culture est à l'avant-garde de ce bouleversement, et les mois qui viennent vont accélérer son rôle pionnier. Après avoir misé sur le téléchargement avec sa plate-forme iTunes, Apple courtiserait la société Beats. Cette start-up californienne lance un système d'écoute par " streaming ", basé sur le même principe que Spotify ou Deezer. Amazon teste une plate-forme d'abonnement semblable pour les livres. Aux Etats-Unis toujours, Netflix revendique 36 millions d'abonnés. Elle leur donne l'accès à un gigantesque robinet à films et à séries, visionnables à volonté, sans téléchargement.
L’« âge de l'accès » remet en cause nos dispositifs d'aide à la création. Il faut repenser l'ensemble des politiques de soutien aux industries culturelles.
« La culture à l'heure de l'abonnement numérique »
A la veille de l'ouverture du 67e Festival de Cannes, qui se tient du 14 au 23 mai [2014], un film cristallise les attentes : Welcome to New York, d'Abel Ferrara, librement inspiré de l'affaire DSK. Dans les colonnes du Monde, les producteurs ont annoncé qu'ils mettraient le film à disposition des internautes durant le Festival. A partir du 17 mai, Welcome to New York sera proposé, pour 7 euros, sur plusieurs plates-formes de vidéo à la demande.
Leur coup d'éclat vise à bousculer la réglementation, très contraignante en France, qui encadre la diffusion d'un film dans le temps, support après support — d'abord la salle, puis le DVD, puis la télévision payante, etc. Aussi iconoclaste soit-il, ce geste apparaît comme désuet.
Désuet, car il ne prend pas en compte les nouveaux modes de consommation culturelle. En 2014, dans les magasins, on n'achète plus de disques, de DVD ou de livres — ou si peu, et bien moins qu'il y a cinq ou dix ans. En 2014, sur Internet, on ne télécharge plus de chansons ou de films — ou si peu, et bien moins qu'il y a cinq ou dix ans.
L'acquisition de produits culturels est une pratique obsolète. L'heure n'est plus à l'achat, mais à l'abonnement, comme l'illustre le succès des sites musicaux Spotify ou Deezer, qui offrent à leurs abonnés, en échange d'un versement mensuel, l'accès à un vaste catalogue de morceaux. Les salles de cinéma ont vu se généraliser l'usage des cartes dites " illimitées ", qui permettent de voir un nombre infini de films, en contrepartie d'une contribution mensuelle.
Après une décennie de tâtonnements, liés notamment à l'apprentissage du numérique, les industries culturelles sont parvenues à réinventer leur modèle économique, passé d'une logique de stocks à une logique de flux.
Elles sont entrées de plain-pied dans ce que Jeremy Rifkin appelait, en 2000, l'" âge de l'accès ". Selon cet économiste américain, qui a théorisé " la troisième révolution industrielle ", la notion d'accès remplace celle de propriété ; le réseau supplante le marché ; la navigation parmi un océan de données se substitue à l'accumulation de biens matériels. C'est une révolution.
La culture est à l'avant-garde de ce bouleversement, et les mois qui viennent vont accélérer son rôle pionnier. Après avoir misé sur le téléchargement avec sa plate-forme iTunes, Apple courtiserait la société Beats. Cette start-up californienne lance un système d'écoute par " streaming ", basé sur le même principe que Spotify ou Deezer. Amazon teste une plate-forme d'abonnement semblable pour les livres. Aux Etats-Unis toujours, Netflix revendique 36 millions d'abonnés. Elle leur donne l'accès à un gigantesque robinet à films et à séries, visionnables à volonté, sans téléchargement.
L’« âge de l'accès » remet en cause nos dispositifs d'aide à la création. Il faut repenser l'ensemble des politiques de soutien aux industries culturelles.
L'obsolescence programmée
12/11/15
« Prêt à jeter, l’obsolescence programmée » est un documentaire d'Arte qui enquête sur les bases de notre économie moderne - consommation, gaspillage et pollution. Dans une société où la croissance est tirée par la consommation, les produits durables sont une catastrophe ! Et c'est une constatation qui ne date pas d'hier. Dès 1928, on pouvait lire dans une revue spécialisée, « un produit qui ne s'use pas est une tragédie pour les affaires ».
Sur le même thème, l’émission d’Elise Lucet, Cash Investigation - La mort programmée de nos appareils.
Sur le même thème, l’émission d’Elise Lucet, Cash Investigation - La mort programmée de nos appareils.
Le disque vinyle
18/04/15
Le disque vinyle n'a jamais vraiment disparu. DJ, musiciens ou simples passionnés écument foires et magasins pour mettre la main sur ce nouveau Graal. Plus qu'un objet, le disque est pour eux une affaire de transmission et d'authenticité. A lire sur le site de Télérama.fr ou sur cette page.
Citations sur le thème
23/01/15
Seront rassemblées sur une page réservée, les citations notables relevées au fur et à mesure de nos lectures sur le thème.
Quelques définitions
23/01/15
Pour compléter les articles « Objet » et « Culte » du Trésor de la langue française (pages 15 à 18 de l’anthologie), je vous propose quelques définitions tirées d’ouvrages ou de site et qui complèteront celles rassemblées par Albadawy M..
L'objet en peinture
22/01/15
Le bulletin officiel
24/03/14
Le Bulletin officiel n° 13 du 26 mars 2015 présente les thèmes concernant l'enseignement de « Culture générale et expression » en deuxième année de BTS pour la session 2016. Le premièr thème porte toujours sur « Ces objets qui nous envahissent : objets cultes, culte des objets. » ; le deuxième thème s’intitule « Je me souviens ».
Vous pourrez retrouver toutes ces informations sur deux pages spéciales du site :
- page réservée au premier thème ;
- page réservée au deuxième thème.
Vous pourrez retrouver toutes ces informations sur deux pages spéciales du site :
- page réservée au premier thème ;
- page réservée au deuxième thème.
Une histoire du monde en 100 objets
24/03/14
Un astucieuse façon de s’enrichir sur le thème du Rêve et d’écouter de l’anglais avec un projet commun de la BBC Radio 4 et du British Museum intitulé A History of the World in 100 Objects (Une histoire du monde en cent objets). Vous pourrez ainsi piocher selon vos goûts parmi une série de cent émissions radiophoniques.
Une page de Google présente tous ces objets et vous précise chaque fois le lien qui vous permettra d’écouter le commentaire — en anglais, bien sûr — de l’objet choisi.
A History of the World in 100 Objects
E attendant vous pouvez visionner la présentation de ces 100 objets. Si vous n’en choisissiez qu’un, lequel garderiez-vous ? Pourquoi celui-là ?
Une page de Google présente tous ces objets et vous précise chaque fois le lien qui vous permettra d’écouter le commentaire — en anglais, bien sûr — de l’objet choisi.
A History of the World in 100 Objects
E attendant vous pouvez visionner la présentation de ces 100 objets. Si vous n’en choisissiez qu’un, lequel garderiez-vous ? Pourquoi celui-là ?